Virginie Watel v3.m4a

[00:00:06] Bonjour Virginie, bonjour Pierre, bonjour Fabrice Brice content de travail Boust après midi, donc on va faire comme d'habitude, je vais vous laisser vous présenter brièvement, présenter votre entreprise aussi en quelques phrases. Et puis tu peux me dire les problématiques posées pour redémarrer la conversation là dessus.

[00:00:28] Moi, je suis Virginie Naos Wattel. Je suis la fondatrice du cabinet de conseil qui s'appelle BMW Management en France et qui est spécialisée dans la relation client. Je fais aussi bien le conseil de l'accompagnement, mais je suis un organisme de formation et je m'appuie sur 30 ans d'expertise métier dans la relation client et dans le cadre du développement de mes activités. En 2018, j'ai créé un centre d'appels au Burkina Kreisau, qui est un centre d'appels, un centre de contacts clients externalisés qui a comme vocation externalisée de prendre en charge les appels des clients et de proposer des solutions d'externalisation. Si bien que son multicanal, aussi bien son budget SMS, télé, secrétariat du recouvrement de créances.

[00:01:22] Bonjour, je suis Pierre Naoum. Donc moi, j'interviens en tant que cofondateur bénévole pour accompagner Sashimis dans cette belle entreprise autour des centres d'appels du Burkina.

[00:01:41] Aujourd'hui, au Burkina, j'ai eu une croissance exponentielle au niveau de la France. Et quand j'ai créé le centre d'appels, ça a été assortie d'une période de.

[00:01:52] Peux juste scarification d'une croissance importante. Tucuman, tu fais allusion à quoi de nous, Genson nous dureraient? Qu'est ce que ça veut dire? C'est quoi que tu comptes pour en termes de chiffre d'affaires?

[00:02:04] Tu peux nous révéler une constante lors de Grands Dormoy bien pour en tant que consultante. Démarrage à 100.000 euros par an avec une offre qui était très ciblée centre de contacts clients et surtout, qui était axée sur mon expertise, l'expertise du fondateur de Bago. Et donc, quand j'ai créé un Chassot, j'ai créé lorsque j'observais amuseront au Burkina Faso. On a fait un des études de faisabilité aussi bien que faisabilité sur des aspects techniques, mais aussi métier, à savoir faire des collaborateurs. Et donc, j'ai créé ce centre d'appels sur mes fonds propres, mais avec l'objectif de proposer ses services annexes, en particulier burkinabé, parce que j'avais des grosses sociétés françaises qui étaient intéressés. Et bien aujourd'hui, ils sont toujours intéressés. Mines concrétise pas et je n'arrive pas à comprendre pourquoi. Alors j'avais des concrétisations qui étaient potentiel avant le Cosider. Et alors là, on a reporté de quelques mois. Le problème, c'est que le besoin en fonds de roulement se fait sentir. Donc aujourd'hui, c'est de me dire comment Basser prospecte.

[00:03:38] Je les concrétise en criant et surtout, Coulonges absorbe ces délits et dès que je n'allais pas du tout anticiper en créant le centre d'appels.

[00:03:49] Aujourd'hui, j'ai un centre d'appels qui est opérationnel et donc on licencie 5 collaborateurs. J'ai une responsable qui est en charge de la prospection et de la qualité.

[00:04:06] J'ai un conseiller qui est dédié spécifiquement à nos faceaux et qui a prospectent, qui prend des rendez vous pour la responsable.

[00:04:12] Toutes les entreprises qui sont présentes au Burkina Faso, on arrive à générer après 8 à 9 heures par semaine.

[00:04:23] J'ai un conseiller, j'ai des conseillers qui travaillent pour des clients en GD, mais j'ai des clients.

[00:04:30] Alors curieusement, j'ai des clients sénégalais et burkinabé et donc au Sénégal, il y a des centres d'appels. Moi, je me suis installé dans un lieu, je premier centre d'appels au Burkina et il n'y avait pas d'existence de centre d'appels.

[00:04:45] Alors j'ai en Crète toute cette réflexion. J'ai mené. C'est une présentation de l'intérêt et du bénéfice de faire appel à un centre de contact client externalisé.

[00:05:01] Mais entre le moment où les gens et les prospects disent oui, c'est hyper intéressant et à un moment, ils trouvent ayions. Ça prend un peu de temps et ce temps là, aujourd'hui, je ne l'ai plus clairement.

[00:05:16] Parce que sinon, Bassila sans impact économiquement. La société française. Une fois challenge, je dégage des bénéfices au niveau du Burkina.

[00:05:34] J'ai voulu le people, c'est chez moi, alors n'avançaient et c'est les mêmes règles dans tous les sens.

[00:05:42] Le problème, c'est pas, c'est la vie réelle. De nos jours, on vit, on vit tous sans zoom, avec des bips derrière. OK ba ba ba ba ba. On s'est parlé très brièvement une fois. J'avais déjà fait une première remarque et je voulais vraiment revenir dessus parce que c'était intéressant d'essayer de démêler ce qui nous écouterait, dont je parlais Virginis quelques minutes. Mais Pierre a eu lieu en cours. Donc, des fois, je fais allusion, Verpillière, à des choses qu'on a vu en cours et s'il le faut, pour coordonner là dessus. Bonpland Ceux qui me regardent mieux, c'est de regarder la conférence que j'ai sur le lean, l'entrepreneuriat en ligne sur mon site Web, qui est une version très, très compacte. Du coup, ça peut faire illusion. Ça peut donner une idée de leur coach fait maison. Moi, je rajoute juste. J'ai eu des difficultés pour l'entrepreneuriat. Pour la plupart des gens, c'est de se souvenir que c'est à la fois une science de l'artificiel. On est censé créer quelque chose qui n'existe pas encore. Donc, c'est une science artificielle. Mais c'est aussi beaucoup une science du réel. Et c'est là où les gens trouvent ce mélange. Beaucoup les pinceaux ou en tout cas, se mettent dans une position difficile. C'est comment naviguer cette artificialisés. Et en même temps, tout en restant conscient du fait que la réalité qui compte tout le reste, on peut se raconter ce qu'on veut comme blague. Les marchés ne seront là que quand ils sont là. Ça n'a pas marché. Pas de marché. Donc, Pierre, qui a suivi mon cours, doit se souvenir. Je fais beaucoup, beaucoup d'humour, de métaphores autour de mensonges que se racontent les humains entre eux en permanence. C'est une question intéressante quand on regarde un business spéculatif comme le chapelet spéculatif, que c'est presque un centre d'appels basé au Burkina. Pas très classique et un centre d'appels basé en Afrique de l'Ouest, mais qui sert l'Afrique de l'Ouest. C'est encore moins classique. Donc là, on est dans le spéculatif de savoir si oui ou non.

[00:07:38] Ton modèle va marcher, que tu peux avoir autant de croyance ou d'envie ou de promesses que tu veux. Tout ça ne sont que des croyances, des envies et des promesses. C'est là, c'est là où c'est intéressant.

[00:07:50] J'ai un petit point à préciser, en fait, c'est quand on a réfléchi à 7 centres d'appels. On a surtout, on a tout de suite travaillé les connections. Et pour que le centre d'appels du Burkina soit en capacité de répondre à des clients français et les clients régionaux, donc, l'aide technique déployée permet à des coûts burkinabés de répondre à des besoins français.

[00:08:24] C'est pas moi, c'est le premier truc que je voudrais qu'on contrit, c'est de dire mettre un centre d'appel dans un pays d'Afrique de l'Ouest pour servir un marché européen, c'est quelque chose que l'on peut comprendre et qui n'est pas trop spéculatif. Ne veut pas dire que toute personne qui va se lancer va y arriver et ce n'est pas trop spéculatif. On sait que pas mal de gens vont faire. On comprend le fonctionnement économique puisqu'on va profiter d'un delta de salaire avec des populations qui peuvent fournir un bon service à des salaires relativement plus bas qu'en Europe de l'Ouest. On comprend bien pourquoi ça marche et on sait que ça peut marcher. Un plein qui ont marché. Je dirais que ça, c'est pas trop spéculatif. Ce qui est plus spéculatif, c'est quand. Et pour vous, c'est intéressant à tous les deux de se dire c'est un marché totalement différent que d'essayer de faire la chose vis à vis des populations locales. Ce n'est pas parce que c'est différent qu'il ne faut pas le faire, mais il faut bien comprendre. Ce sont deux problèmes de nature complètement différente. Le fait de réussir à servir le marché de Louet de l'Afrique de l'Ouest, c'est complètement nouveau. C'est vraiment et encore une fois, Jassy, ce n'est pas une mauvaise idée, mais. Mais là, on rentre dans le pur spéculatif.

[00:09:30] Peut être que dans dix ans, on arrivera à la conclusion que tous ceux qui sont ici n'y sont pas arrivés. Ça ne veut pas dire que dans 20ans, on n'y arrivera pas, mais ça veut dire que finalement, il y a bien un truc qui marche bien et il y a un truc qui ne marche pas. L'histoire, c'est compliqué.

[00:09:45] Je voudrais préciser aussi. Ce qui nous a amenés au Burkina, c'est qu'on a fait une analyse et on a dit, explique le ENCETTE. L'accent burkinabé n'était pas détectable pour une oreille française. Donc, c'est un point qui nous a amené au Burkina, avec un pays où il y a des populations qui sont particulièrement bien formées et un marché de l'emploi qui est difficile.

[00:10:11] On est loin en rentable de décalage horaire à une heure en hiver, en été et surtout une réglementation, une jurisprudence qui permet de travailler avec jour et de nuit sans grondements et coups. C'est donc calme.

[00:10:38] Ce qui est important, c'est qu'on essaie de faire un tri. Pour l'instant, on est en train de trier ce qui est sur la table journellement, qu'on mette deux États différents.

[00:10:43] Il y a d'un côté est ce qu'on pourrait faire ce service pour le marché vis à vis du marché local, burkinabé ou sénégalais? Est ce que ce service a vocation à être en Europe? Je ne dis pas qu'il n'y aura pas de circulation entre les deux. Par hasard, entre tourner les deux, mais ils ont des logiques assez différentes, donc c'est bien compris. Quand on regarde chacun des problèmes différemment. Moi, j'entends le fait que vis à vis du marché hors du marché européen, c'est très spéculatif. J'entends que vous insistez en disant et d'ailleurs, c'est pour cela que vous avez choisi le Bénin Faso parce que peut être que les prix sont encore un peu plus bas. Et puis que l'histoire, l'accent, donc une meilleure qualité que ce que vous pensez qu'on peut obtenir au Sénégal ou en Côte d'Ivoire. Mais ça, c'est une chose.

[00:11:28] Si je m'adresse au marché européen, après, il y a tout débat. Si je m'adresse au marché local, je voudrais parler de celui là pour commencer, parce que c'est le plus antonymes et le plus intéressant pour nous, parce que c'est le plus spéculatif. C'est celui où vous pouvez faire le plus des relanceur de. De vous laisser aller à une idée romantique, quasiment romantique de l'entrepreneuriat qui est de dire c'est sympa, etc. C'est très romantique, au sens où on comprend bien l'économique.

[00:11:57] Pourquoi des gens au Burkina Faso ou au Sénégal pourraient être rentables vis à vis de prestations vis à vis des Européens? C'est beaucoup plus spéculatif de ça. On réussit à le faire faire sur les marchés locaux parce que pour les marchés locaux, ils ont les fournisseurs locaux. Ah bon? Vous en êtes un parmi tant d'autres? Ils ont des structures de coûts, ils sont différents. Donc, attention à lire le presta qui sont fournis, qui sont fournis par des gros opérateurs télécoms ou autres qui pourraient utiliser nos service en Europe de l'Ouest, ont des structures de coûts et des volumétries qui sont peut être pas les mêmes qu'en Afrique. Ça ne veut pas dire qu'il y a pas les grosses volumétries en Afrique, car il y a des pays d'Afrique qui ont évolué, ce qui est tout à fait remarquable, mais des fois, ils sont à la pointe.

[00:12:39] Mais bon, moi, je vois venir. Je trouve que c'est très, très spéculatif, donc je suis un peu inquiet de savoir.

[00:12:51] Au delà de la bonne idée et au delà du fait que les 2, 1 ou 2 commercial actuellement sur le terrain.

[00:12:57] De se dire à quel moment vous allez décider qu'en fait, ça ne marche pas pour une raison simple, c'est que les clients ne signe pas pour plein de raisons. Ils peuvent ne pas signer parce que l'économique n'est pas là. Ils peuvent ne pas signer parce que leurs besoins ne sont pas si urgente. Mais ils peuvent vous dire l'inverse. C'est une chose qu'on discute beaucoup quand on est en cours ou le client, des fois, va dire je suis intéressé, mais en fait, ils passent à l'acte, ils passent jamais à l'acte en plein, à raison. Ça, c'est un truc qui a lieu dans l'entrepreneuriat, mais qui a lieu dans d'autres domaines de la vie. Des gens qui zawiya. Je sortirai bien avec toi, je couche très bien avec toi, mais qui ne le font pas. C'est l'histoire de notre vie, quoi. C'est l'histoire de la vie où les gens qui vivent de l'âge. Je fais une métaphore actuellement qui a l'habitude et les gens encore quand ils sont jeunes, quand on est encore des enfants ou des adolescents, ou même un peu plus tard, on se laisse embrouiller par quelqu'un qui dit avoir été la personne la plus sympa à la personne. Marieuse, il a couché avec quelqu'un d'autre. Donc, il faut réussir à dépasser l'étape 2. Pourtant, la personne me trouve la plus sympa du monde, mais elle couche avec quelqu'un d'autre. Oui, oui, on peut dire y a un moment, il faut que ça percute quoi? Il faut que ça percute. Et souvent, je trouve ça bien spécifique. Si j'en parle tellement au cours, je trouve. On reçoit un scripted culturel en entrepreneuriat qui ressemble un peu, auscultent culturel quand on a des enfants de 14 ans. En quoi ces gens? Il y a un prince charmant. Il va se pointer avec une fleur, il va dire tu es la personne la plus merveilleuse de la terre et ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants. Ça, c'est des conneries, quoi. C'est vraiment du girly, ça ne se passe jamais comme ça. Évidemment, les gens vont faire une bonne chose comme. Ce sont les premiers qui ont être totalement fiable. Et évidemment, ça peut prendre 20 ans avant de finalement trouver le bon deal. Moi, je me méfierais beaucoup de l'idée romantique. Il y a un marché au Burkina Faso. J'ai la sensation que ça a marché en Europe occidentale. Ça a marché entre guillemets. Plus difficile parce que bien des gens de la concurrence, il y a d'autres Konstantinos. Mais au moins, on sait comment ce marché fonctionne. On sait pourquoi il y a de la marge à faire. C'est à peu près vous vous comprenez entre guillemets. Mieux? Comment des clients occidentaux, mais pas si facile que ça avec les services achats des grands groupes qui pourraient vous acheter, vous cresta. Mais, mais c'est assez prévisible aujourd'hui de savoir si oui ou non des groupes africains vont vraiment payer pour ce genre de cresta avec une marge correcte. C'est totalement spéculatif. On est vraiment dans vous avez un problème compliqué parce que vous êtes rentré dans une zone comme moi. Je ne recommande pas à mes élèves l'entrepreneuriat, c'est à dire? On est vraiment dans l'idée pure. C'est totalement spéculatif.

[00:15:47] Oui, mais alors dans ce rôle, on a structuré un petit peu la clientèle potentiels et on est arrivé à des grosses entreprises qui étaient présentes et pétroliers. Le téléphone, l'électricité est donc là. Ce sont des sociétés qui ont fait connaissent l'utilisation des centres d'appels. Donc effectivement, quand on a, on a réfléchi à l'offre. Il y a des sociétés qui ne connaissent pas du tout les centres d'appels. Il y a des centres d'appels qui sont internalisés localement et il y a des grosses entreprises qui connaissent le produit. Et du coup, mon appétit pour après. Bon, ça demande des autorisations, ça, mais en tout cas, connaissent, connaît, se produira. Je ne sais pas si on va être relié, on ne peut pas les réduire.

[00:16:53] Mais ce qui s'est passé, c'est que je me suis rendu compte assez rapidement et j'ose dire non. Mais en faite, les dg. Finalement, il remonte au groupe parisien.

[00:17:06] Donc en fait, ils sont, ils ont des idées et quelquefois c'est marqué, même dans leurs objectifs. Donc voilà, hormis entre le moment où je les rencontre, où ils font appel à moi en me disant j'ai besoin pour l'année prochaine. Là, ça prend, ça prend un an. Ça ne veut pas dire que ce n'est pas validé. Ça veut dire que si ça doit remonter en conseil, c'est validé par Paris. Sardi, des. Et si ça ressemble à l'idée, c'est aussi raconté d'Hubert Tinel.

[00:17:42] Il y a des pays comme la Côte d'Ivoire, le Mali, le Niger. Et tout ça veut dire que stratégiquement, si j'arrive à sortir ça, c'est toute la sous région et.

[00:17:54] J'ai des potentiels clients qui ont validé pour la sous région, mais aussi pour le Burkina et la sous région.

[00:18:05] M'exprimais. Mais après, je accepte l'idée de romantisme.

[00:18:11] Moi, moi, moi, vraiment. Je pense vraiment que là où je peux vous aider à juste faire un peu attention parce que c'est mon style Sékou Touré, Virginie, mais pas à grand coup de gens qui me voir une mamie du combat un peu vite. Mais moi, j'ai vraiment envie de mettre beaucoup plus d'agressivité ou de réalisme dans votre raisonnement et de vous laisser vous parler par métaphore. Je parle souvent de l'amour. Je fais allusion à linotte, métaphore qui est important. C'est la guerre, c'est à dire que.

[00:18:40] Un des plus grands dangers que je vois dans les populations comme vous, c'est à dire des gens bien formés, intelligents, qui connaissent le management, c'est justement vous connaissez le management et ça, c'est le pire truc pour vous. Lorsque vous êtes dans la merde, je vais vous expliquer c'est parce que. Je forme des soldats. Avait lieu beaucoup en France il y a 30 40 ans. Former des soldats pour la parade. Ce que j'appelle la parade parce qu'on avait la conscription à l'époque, dans les années 70 80, on avait la conscription. En gros, tout le monde devait passer à l'armée, donc on avait des garnisons entières de soldats accusés de s'occuper pour s'occuper. Pourquoi? Parce que j'avais un million de gamins qui devaient passer dans les casernes. Donc, bon, ok, c'est parti de gauche droite, droite, gauche. Demi tour emploie les armes, le fusil et le drapeau. Alors hop, hop! Hop! Hop! Hop! Hop!

[00:19:34] Mais c'est des conneries. C'est pas la guerre.

[00:19:38] Oui, c'est pas la guerre, c'est quand je viens par là que ce n'est pas parce que j'ai des tonnes de mecs qui sont dans la cour de la caserne. Tut tut tut tut. Demi tour de Obito droite et sont capables de raconter les ordres que ce sont des soldats et par là que ce que je viens par là. Et j'espère que ça n'a pas vocation à offenser personnellement. Mais il faut vous demander quand je vous écoute me parler de ce marché. Moi, j'ai vraiment l'impression. Je vais garder cette métaphore guerrière où vous avez dit Purée les mecs, on va trouver un endroit où personne Basie larguée en parachute avec nos canons. Vous êtes arrivé sur un terrain vide. Vous cherchez une colonne vide? Vous vous tirez dans le décor, dans la colonne vide.

[00:20:21] C'est pourquoi je divide. Il faut souligner une chose, c'est que c'est sous le sous qu'il dit ça.

[00:20:27] La meilleure manière de gagner la guerre, c'est de ne même pas commencer la bataille parce que tant que vous n'avez pas un mec qui vous demande du business, mais vous ne faites rien, vous faites rien. Aujourd'hui, une trouille que je sais que parce que vous êtes capable de parler de segmentation, de processus, de tout ça, vous allez très efficacement perdre un nombre vobis avec beaucoup de brio.

[00:20:48] Plus vous allez continuer à faire des études de marché, plus vous allez louper le truc. Vous n'êtes pas là pour manipuler votre canon.

[00:20:57] Je veux dire que la métaphore, qu'elle soit celle de la guerre avec le sang ou qu'elle soit celle du sexe avec le fait de bon OK de la personne, elle veut coucher ou ne pas coucher. Il y a un moment où il faut que dans votre action entrepreneuriale, vous ayez l'équivalent en amour. Est ce que la personne vous coucher ou en guerre, c'est OK? Est ce que j'ai vu couler le sang? Je suis pas là pour me promener. Joli soldat avec une prose plieront. On a mis tout le monde bien alignés, puis on a fait le flanc droit, on a fait le flanc gauche et j'avais dit Wilhelmy.

[00:21:29] Qu'est ce que vous faites là?

[00:21:31] Pourquoi vous tourner en rond? Je veux dire par là. Ça veut dire quoi concrètement? Moi, ce qui m'inquiète beaucoup, c'est que moi, je ne serai pas autant exposé. Je n'aurai pas senti sorti autant de moyens sur la table. Tant que vous n'avez pas plus de gens qui vous lisent, putain, je veux ton putain de service G et c'est pas ne le prenez pas personnellement, mais jouer, c'est vraiment pour vous réfléchir de se dire moi, je crois vraiment qu'on a un problème culturel dans nos sociétés occidentales où on a une injonction des gens de les y faire de l'entrepreneuriat. Donc les gens prennent une idée. Et puis après, il déroule le truc, il déroule et en fait, j'avais dit Oh ouais, ouais, le marché, c'est vraiment bon marché, au sens de ce qui s'est passé.

[00:22:17] C'est comme j'arrivais au Burkina, j'avais un client français.

[00:22:22] N'accordons Français, qui est très bien dans ce cas là cela. Cela, c'est autre chose, mais là, je m'inquiète déjà de tout effort sur le marché burkinabé parce que c'est une métaphore pour, pour revenir, rassembler des éléments de votre démarche. La métaphore la plus importante, c'est de voir là. C'est comme une spirale. Si on fait un premier truc doit marcher et parce qu'on a fait un premier truc qui marche, on doit en faire un deuxième truc un peu plus gros qui doit marcher. Et quand il y en a fait un deuxième truc qui marche, on en profite. Un troisième truc. Et souvent, les boites qui réussissent, c'est parce qu'elles ont enchaîné 8 10 étapes importantes ou à chaque fois, elles s'appuient sur leurs réussites précédentes pour réussir à monter. L'exemple typique que j'emploie très souvent, c'est Amazon qui commence. Comme un petit commerçant devient un gros commerçant, petit commerçant, le livre devient gros commerçant de livres, puis devient un gros commerçant en général, puis se met à vendre de la capacité informatique. Donc là, on a Katinka clac, clac, clac, clac, clac. Et à chaque fois, on est dans le métal, quoi. C'est l'étape d'avant a été validée, immanent, parce qu'ils ont ce premier truc. Ils vont pouvoir construire. Donc, dans votre cas Virginis, je reprends, vous faites de la presta plutôt de conseils sur ces questions de l'externalisation du marché non européen, surtout avec des prestataires. Afrique de l'Ouest Que vous soyez capable de faire du Conseil, c'est validé dont c'était la première étape. C'était très bien jusque là. Tout allait bien que vous disiez je vais aller au Burkina pour remonter la chaine de valeur, ça veut dire moi, je vais faire mon service. C'était la bonne deuxième étape. Là où j'ai un tout petit peu la sensation, c'est qu'une fois que vous êtes arrivé sur le terrain, super, on va faire une campagne napoléonienne. On va commencer à attaquer sur toutes les collines dans le décor, alors qu'en fait, il n'y a pas d'ennemis. Là, vous vous êtes entre. Utilisez vous une munition dans le vide alors admis? Il n'y a rien d'intéressant. Je n'en sais rien. Je ne pas là. Peut être que en tapant des cordes, allez réussir à faire sortiras. Mais je veux dire l'APO, pour moi, je ne sais pas trop métaphorique. Ce qui tue, qui m'intéresse, c'est OK. Il vous dit les clients qui vous lisez. Moi, j'ai besoin d'aide pour externaliser en Afrique de l'Ouest. Très bien. Il fallait rester sur cette ligne d'argument qui était de dire OK. Maintenant, je regarde la chaine de valeur. Je vous aide à externaliser au lieu de juste votre prestataire, votre conseil, je deviens votre prestataire et je ne le fais que si vous me donnez le contrat autrement. Seulement votre consultant. Et donc donc je prends un premier contrat qui est bien sûr évidemment avec un client en Afrique et en Occident que je connais puisque c'était votre compétence précédente. Là, vous êtes, vous êtes dans le métal. Vous êtes pris sur le métal. J'ai l'habitude de traiter avec vous. Je monte juste un cran. Vous prenez, vous ne prenez pas. Si vous ne prenez pas tout de suite, on arrête tout de suite.

[00:25:02] Donc, finalement, la question à se poser aujourd'hui, c'est comment inverser la vapeur?

[00:25:09] Oui, oui, on peut le voir de manière différente. Moi, j'ai beaucoup travaillé avec mes élèves sur le vrai problème des représentations. Et même vous, vos émotions. On sait comment accepter l'idée que, peut être, toutes ces idées étaient très romantique et comment commencer à le comparer en lisant la prochaine fois, que ce soit son projet ou son prochain, ou sur un autre parce qu'on fait? Peut être qu'il faut entièrement revoir tout. Entre guillemets, la prochaine fois, je le bouge, mon cul. Si vraiment il y a du business. Parce que j'ai une sensation, si je peux me permettre, je suis un peu votre votre formateur que vous avez un réflexe qui est totalement classique et de se dire puisque je peux utiliser les Arbour pour couvrir le terrain, comme on l'a appris à l'Académie militaire quasi permanent de ma vie à quatre. Couvrir le terrain juridique, dire mais pourquoi tu fais ça? J'irai. Cette méthode était utile si vraiment il y avait une raison de couvrir ce terrain là, mais en fait, non. On attendra cramés inutilement. Ton temps, ton argent. Des économies, j'en sais. Toutes les choses que les gens crame, pendant quand ils fuient, quand ils perdent un ennui d'ennui, c'est l'unité. Il perd un an. Ils ont mis leur vie sur un premier projet. Ils prennent une tôle parce qu'en fait, ils étaient sur une mono idée sur lequel ils n'avaient pas vraiment de marché. Ils traînent à 6 mois, un an, un an et demi. Et là, moi, je dis la prochaine fois, il faut se dire non, non, non, non, non, non, je ne démarre que s'il y a quelqu'un qui dit j'ai envie de payer quelque chose. Donc, si je peux me permettre, un juste pourrait être pour faire très simple. Dans votre cas, c'est pas pour avoir un passé, mais ça peut vous pour la prochaine. C'est vos clients. Quand on vous dit en France, vous aviez une hypothèse. Il faut remonter la chaîne de valeur qu'il faut être moi même fournisseur plutôt que d'être juste consultant. Eh bien, il ne fallait pas quitter votre position consultantes. A pas un mec qui dit ouais, ouais, c'est bien qu'il faut externalise. Tu me dis en même temps c'est compliqué, chéri, ça tombe bien, j'avais envie de monter cette activité. Tu me donnes le contrat au nom. Et là, vous avez un contrat maintenant? Oui, je suis bien d'accord. Je suis toujours en France. Il faut revenir aux basiques basiques. Moi, je reviendrai aux basiques, c'est à dire de se dire j'ai un truc qui fonctionne et une des choses que je dois gérer dans ma tête. Malheureusement, la société est une mauvaise idée que j'en sais. Je vais bouger mes fesses. Comment je peux avoir un client? On en apprend peu, on peut faire un petit effort, mais attention au fait de se laisser emporter. C'est trop facile, beaucoup trop facile. C'est même un aspect où on pourrait dire presque un peu toxique de la formation des business school. Dans mon cours, des fois, je fais un peu d'humour là dessus où on apprend aux gens à faire de la parade. J'aurais dit Putain et moi, si j'envoie ces soldats sur le terrain qui font la parade, ça devient des cibles.

[00:27:55] Ça devient des cibles.

[00:27:57] Ils font la parade sur le terrain de Tut tut tut poum poum poum sur le terrain. Il n'y a pas de parade. Je mets la tête dans la boue. Je lève les yeux. Est ce qu'il y a une vraie opportunité? C'est tout. Donc, dans votre cas, c'est une des conclusions possibles. C'est effectivement de dire il faut revenir aux basiques, c'est de se dire OK, on va déjà revenir à l'endroit où on pense vraiment qu'il a marché, parce qu'on le connaît, parce qu'on connait son économie. C'est le marché où je fais les prestations, les marchés occidentaux. Pour être clair, je voudrais qu'on soit honnête intellectuellement. Vous avez l'idée de servir le marché local. Je pense pas que l'idée du marché local soit débile dans l'absolu. Personne ne connait le futur, ni vous, ni moi. Donc il n'y a débat. Moi, je vous dis c'est l'idée débile. Vous me dites c'est pas une idée débile. Personne ne connait le futur. Il est tout à fait plausible qu'un jour quelqu'un réussisse à faire fonctionner un service de presta vis à vis de l'Afrique de l'Ouest. Mais si vous me demandez mon avis. Est ce que c'est plausible? Oui, c'est possible, mais ce qui est plus intéressant de ma question, c'est OK. Dans quel scénario? Dans ce cas, ça pourrait émerger parce que j'ai laissé entendre que vous avez peu de chance. OK, moi, je suis pas là pour juger, vous. Je suis en train de vous dire dans quel cas les choses se passent bien quand on connait beaucoup l'histoire entrepreneuriale, par exemple, je vous donne un exemple typique. Si vous prenez un gamin nourri d'une riche famille locale burkinabé qui a fait des études en Europe et qui a bossé chez Bouygues Telecom et qui connait les centres d'appels, et quand il rentre au pays, le papa qui contrôle l'opérateur télécom local lui dit Fiston. Allez, je te donne le contrat Averna, ça va marcher. Est ce que ça va marcher et une fois qu'il aura mis le truc en place? Non seulement il va trouver l'économie locale parce qu'il n'y a pas de chose, il apporte sa compétence parce qu'il a écrit chez Bouygues Telecom en France, plus on ne va pas lui donne le premier contrat qui n'est pas négligeable parce que le papa est le patron du gros du groupe. Il réussit à faire fonctionner son PRU. Son truc est maintenant vivant. Après, il peut commencer à avoir de clients les gens qui fonctionnent. Gros probleme je fournis le premier telco local et les choses en domino. Ce scénario n'est pas impossible si dans deux ans et demi, en quatre État. Vous avez dit de laisser tomber. Il y a un mec qui est arrivé juste sans son talc. De l'idée. L'idée? L'idée est totalement pas intéressante. Ce qui est important, c'est le processus par lequel les choses se font. Et souvent, quand quelqu'un exécute bien une chose, c'est bien son exécution par rapport à ce qu'il avait avant. Ce qui est important, les gens vont dire Oh là là! Mais quelle idée géniale! C'est une bêtise. C'est une bêtise de deux de se prendre la tête sur l'idée. Dans votre cas, il est plausible qu'un jour en 5 ans, rediscutera, vous le dira. Ben ouais, finalement. Ben voyez, au Kenya avec il a fait sa première marche au Kenya. Et puis maintenant, il est leader en Afrique de l'Ouest. J'ai un regret parce que finalement, ça aurait pu être moi et moi. J'aurais dû répondre Ben non, parce qu'en fait de lui, il l'a fait. Pas à cause de l'idée. Il l'a fait parce qu'il était dans des circonstances très particulières. Vous avez vos circonstances, vous êtes bien formé. Je ne sais pas pour quelle raison vous avez mis un pied sur le Blokhine, ce qui n'est pas inintéressant. Parce que si votre but est de remonter la chaîne de valeur en disant adieu à des boites françaises, je vais vous vous faire la presta dans un pays que je trouve mieux. Parce que l'argument sur le fait que c'est mieux, parce qu'il aura un accent plus neutre me semble intéressant. On en reste juste là. OK, très bien pour revenir à l'activité conseil et vous proposez. Mais si tu veux, je peux te le faire mieux que tous les mecs que je t'ai mis dans la comparaison. Et c'est tout. Et c'est beaucoup moins ambitieux au démarrage. Parce qu'effectivement, mais au moins, ça va permettre de commencer tout doucement à établir une capabilités locale si on veut avoir des contrats qui tournent, d'avoir des revenus, d'avoir de la marge. De plus, être en mode d'asphyxie parce que là, vous racontez votre apnée. J'allais dit putain quand vous êtes dans la merde. Jamais, vraiment. C'est un peu comme dans le marché de l'amour, quoi. La personne qui se présente dans le marché de l'amour en disant oui, il faut vite que je trouve quelqu'un passe le relais de coucher. On sait très bien qui ne va pas coucher. Vous voyez ce que je veux dire? Là, vous êtes dans la merde. Votre appartement, vous dites? J'ai besoin absolument de signer un contrat. En face, tout le monde est là entre vous dire qu'on n'a pas vraiment envie. D'où le dialogue, le dialogue, un dialogue totalement inintéressant. Donc là, il vaudrait mieux arriver en disant moi, j'amène des mots en français puisque j'ai un pied au Burkina, je monte ma propre capabilités avec mes équipes que je connais bien. Ça, c'est un truc génial. Vous avez un truc intéressant que cette montée de rachat ne me semble pas débile, mais je laffrey par Cryptic, plus plus propre. J'ai bien compris. Donc, je ne sais pas trop quoi vous dire de plus. D'autres questions, on peut le regarder, mais je dirai c'est vrai que ce que je viens de vous dire, ça ne résoud pas beaucoup de problèmes à court terme, mais c'est déjà pas mal.

[00:32:49] Je commence à comprendre comment je reste. J'ai péché.

[00:32:56] Ouais, non, mais c'est bien si vous le sentez. Moi, je trouve un jeu, je le dis, je. J'aimerais. C'est pas un mot qui est très beau à ce sujet. Désolé pour les gens qui voient la vidéo, mais j'aimerais que les gens fassent preuve de plus d'agressivité. Il ne faut pas le voir comme ça, mais ce que j'appelle l'agressivité. On pourrait l'appeler réalisme. On pourrait l'appeler, j'en sais rien. Je peux pas dire qu'on devient des sagouin ou des tueurs, mais moi n'est pas fleur bleue. On ne va pas sur le terrain de l'entrepreneuriat pour faire les beaux. Bien sûr, on y va. Il faut avoir une forme de moi, ce qui m'inquiète. Vous pouvez revoir la vidéo. J'ai la sensation que j'avais pas beaucoup de clients qui vous ont dit Purée, les mecs, faites nous ça, on va vous payer. Mais ce que rappelle le client au sens qui, vous l'aurez dit, avec une forme de réalisme, est ce que vous y croyez? Croiser un opérateur à une boîte locale qui dit job? C'est marrant ce genre de truc au lieu de ça. Peut être que je prendrais un contrat. Je crois aussi à vous sentir un peu. Est ce que ces acteurs sont sérieux ou pas? J'ai un peu peur. Ils sont tout aussi romantiques que vous. Tout le monde en train de se raconter. Tiens, si on joue à ça. Ils ne sont pas vraiment prêts à payer ce genre de cresta, à allez payer à un prix correct, etc. J'ai la sensation presque autant de forme de romantisme de leur part qu'il y a de votre part. Et après, on va pas perdre un en racontant des blagues. Voilà après, après, mais bon, vous avez passé assez de temps au Burkina maintenant pour le savoir. Parce qu'effectivement, après, il faudrait réussir à prendre en compte par rapport aux cultures locales, la cohabitation ici, etc. Toutes choses qu'il faut apprendre à déclarer. Mais je ne suis même pas inquiet de ça parce que vous me semblez avoir quand même un tout petit peu fréquenté Alger. J'ai vécu dix ans en Afrique, donc je ne rentre pas dans les détails banche pour comprendre ce qui vous arrive. Mais ce n'est pas la question. La question n'est pas de commencer à mettre le doigt sur les spécificités du marché africain, mais on s'en fout. En Afrique, il y a des gens qui réussissent à faire de l'argent. Il y a des gens qui réussissent à vendre. C'est votre boulot. À vous de dire à quel moment joue le jeu. Je reviens dans une logique de haine. On est vraiment dans une logique de vente. On n'est pas dans une logique de se raconter des blagues. Il y a un vrai danger qu'on perde un an et demi en racontant des blagues. En tout cas, c'est la question que je vous pose, bien sûr.

[00:35:26] Est ce qu'ils auraient d'autres questions ou d'autres encore sur ce sujet en ces temps?

[00:35:31] Non, c'est très clair.

[00:35:36] Je ne sais pas ce qu'on pourrait faire si vous avez encore de clients en France actuellement. Pour l'instant, vous vous conseillez ces boîtes françaises sur ce genre d'externalisation.

[00:35:44] Oui, tout à fait exact, selon.

[00:35:48] Moi, moi, moi, je trouverais intéressant de se dire je continue à prendre des clients parce que je commence à bien connaître ce marché et à chaque fois, je leur propose l'option. En toute honnêteté, c'est votre c'est votre éthique. Ils se croient le reconnaître et en plus, nous, on peut vous fournir quelque chose qui sera mieux intégré, mieux ceci ou cela, autrement, pouvez prendre le prestataire dans la probable qu'on vous fait. Les deux sont dans la balance. On sait gérer et discuter quand on n'est pas actuellement. Vous n'êtes pas seulement une paille ou vous êtes vraiment en concurrence avec les grosses prestataires qui sont basés à qui sont basés à Dakar, etc. Montaut ou faire une cresta un peu particulière et mieux intégrés. Ou alors, vous pouvez faire ça à chaque fois, le proposer jusqu'à ce qu'un mec qui dise abstiens. Pourquoi tu le propose? Moi, moi, moi, j'aime, moi, j'aime, moi, je reprendrai. Le problème là, c'est de se dire est le vrai problème du client. Vous avez la chance d'être dans la chambre à coucher du client à savoir quel est son vrai problème? Exactement. Essayer de remonter à ce problème là. Et si claws? Pas. Je ne vois pas pourquoi Toulouse n'est pas là, il y a une vraie valeur ajoutée. Vous êtes compétente si vous êtes sérieuse, compétente et que vous êtes capable de leur dire il y a une vraie raison pour laquelle on pourrait vous le faire bien mieux, customisées ou non. Moi, j'ai dit actuellement que je suis prêt à utiliser. Il n'y a pas de raison que vous aurez un moment entre les contrats. Je suis bien d'accord, donc moi, je resterais là. Et après? De se dire un jour on va revisiter la question de dire on va le faire pour l'Afrique, mais il faut savoir. Moi, je le connais qui a travaillé sur les questions de système bancaire et de comment, par exemple, ont émergé des systèmes de paiement avec les mobiles au Kenya, en Suisse. C'est assez classique maintenant. Il se passe des choses étranges, des fois en Afrique, on est d'accord, c'est les marchés qui réagissent totalement différemment. Les gens se disent n'est pas des marchés intéressants. En fait, le marché africain peut être très intéressant, mais ses modalités sont des fois très particulière. Donc, il mettez vous dans une posture de partenaire l'apnée pour pouvoir à un moment vous dire je comprend bien et je l'en clipse, yaka. Allez, on va arrêter là si vous voulez. Je ne vais pas vous prendre beaucoup plus, vous vous y réfléchissez mois, dans quelques semaines, un an, quelques mois contre redi heureux. Et puis la chose. Merci, bonne chance. C'est vous qui êtes sur le terrain. Donc, bonne chance à moi je dire.

[00:38:15] Merci, merci.